Illustration clinique « Le petit homme coq » de Ferenczi.
Nous partirons ici d’un cas clinique célèbre exposé par Ferenczi en 1913[1]pour discuter de l’angoisse dans la relation à la structure du sujet, de son implication dans la mise en place de sa subjectivité. Nous essayerons de nous appuyer dans un premier temps sur la théorisation de Freud et ensuite celle de Lacan.
À la suite de vacances passées à la campagne, le petit Arpad, âgé de cinq ans, gamin intelligent et vif, a inopinément présenté un comportement inquiétant. Il ne parlait pratiquement plus et ne faisait qu'imiter le caquètement des poules et le cri du coq.
"Il caquète et pousse des cocoricos de façon magistrale. À l'aube, il réveille toute la famille – un véritable Chanteclair – au son d'un vigoureux cocorico[2].
La volaille était désormais devenue son unique centre d'intérêt. Lorsqu'il daignait tout de même parler, ce n'était alors que pour évoquer les animaux du poulailler. Il entonnait des chansons à la gloire des poules et des poussins, imitait dans ses jeux l'abattage des bêtes, fabriquait des poules et des coqs en papier et à l'aide d'une brosse qui dans son jeu représentait un couteau, jouait à égorger les bêtes – non sans plaisir, d'ailleurs. La mise à mort des gallinacés était devenue chez lui une véritable obsession qui tout à la fois l'enchantait et l'attristait, lui provoquait en tous cas un état d'excitation extrême. Il se mettait par exemple à chanter et à danser de manière frénétique. De plus, il rêvait de leur crever les yeux et de les plumer. Il prétendait aussi couper la tête de sa mère et la manger – tout comme il l'aurait fait pour une poule. Il ajoutait qu'il l'aurait volontiers dégustée confite. En outre, il imitait à merveille l'agonie du poulet puis s'émouvait de la douleur de l'animal qu'il venait ainsi de faire passer dans l'au-delà. Il manifestait une très vive agitation lors de la vente des poulets dans la cour de la maison ; insistant, trépignant pour que sa mère en achète. L'esprit manifestement envahi de scènes de poulailler, il passait la totalité de son temps à observer les animaux. Il était devenu évident que la famille entière appartenait à l'espèce des gallinacés – d'ailleurs, il se prétendait poussin, destiné à grandir, coq un jour prochain, sans doute, comme son père. Il envisageait enfin d'épouser plusieurs femmes, dont sa mère et d'installer ainsi son règne sur la haute basse-cour.
Ferenczi – qui n'a vu le petit Arpad qu'une seule fois ; qui n'a d'ailleurs entrepris aucun travail psychothérapique avec lui – l'enfant, s'intéressant exclusivement aux poulets, avait refusé de se prêter au jeu – entreprit d'interroger une proche sur les origines de la maladie du petit patient. D'après ces renseignements, Arpad, qui vivait avec sa famille à Budapest, avait développé cette étrange affection à son retour de villégiature, après des vacances de deux ans et demi passées à la campagne. Peu de temps après, l'entourage avait appris que, l'année précédente, il s'était fait mordre le pénis par un coq (peut-être avait-il seulement failli être mordu). La bonne lui avait alors confectionné un pansement.
Le cas, on le sait a particulièrement intéressé Freud qui y voyait le petit frère du cas Hans. Il s’ensuivit une importante correspondance entre Freud et Ferenczi.
Freud rapporte ce cas dans la quatrième partie de « Totem et Tabou »[3]comme illustration des mécanismes universels qui font de l’homme un être social. Ce cas est pour Freud prend une place importante dans l’élaboration du totémisme dans sa conception des peurs de l’être humain et notamment celle de la castration.
Il semble effectivement important de noter que ce cas relève de la peur de la castration, que le petit Arpad a vécu sous l’égide de la morsure du coq. Les appels réguliers du petit enfant à la mort de la « volaille » évoquent la notion de ce meurtre symbolique du père comme événement fondateur de l’intégration symbolique de la loi tout comme élément révélateur du complexe d’Œdipe.
Dans l’histoire du petit Arpad, les éléments de l’Œdipe sont au centre de son évolution. Comme nous l’avons vu plus haut, le complexe de castration et l’angoisse qui lui est attachée repose sur l’investissement libidinale de l’enfant à la mère. Le corrélatif de cet attachement repose dans le désir entaché de danger (la mise à mort des poulets l’enchantait et l’attristait) de prendre la place du père, ici représenté par l’image totémique du coq qui lui mort le pénis.
Ferenczi nous indique que le petit Arpad s’était livré de manière concomitante à des activités d’onanisme qui avaient été réprimées par les adultes présents. Cette morsure réelle peut avoir agi comme une castration réelle indiquant le châtiment ultime et réel de la castration. La motion pulsionnelle est alors investie dans le ça et conserve son investissement libidinal se fixant alors sur la représentation de la volaille. Il y a dans ce cas, une analogie avec la phobie du petit Hans qui vient indiquer la carence paternelle à s’opposer à l’investissement libidinal à l’endroit de la mère de celui-ci. C’est pour cette raison que Freud indique qu’il s’agirait d’un frère du petit Hans.
La question que l’on peut se poser concerne l’expression du symptôme, qui dans le cas du petit Hans confère à la zoophobie alors que l’on voit ici dans le cas du petit Arpad une vénération morbide pour l’animal, une destruction mêlée à une ambivalente tendresse. Sur cette observation, nous pourrions émettre l’idée que le petit Arpad se trouve dans une posture évoquant la perversion mais de celle dont Freud dit qu’elle est polymorphe à l’âge infantile. Il ne saurait donc en aucun cas présager l’idée d’un développement de ce type de structure, si tant est qu’il soit pertinent ici d’en faire le cas.
Ce qui semble saillant dans ce cas, c’est le vécu subjectif de l’enfant du complexe de castration et de la problématique Œdipienne. Dans ce vécu différent par rapport à la situation du petit Hans, on peut néanmoins retenir quelques invariants liés à la phase Œdipienne.
Le rôle du père semble structurer l’angoisse de castration du petit Arpad dans une dialectique où le volatile prend lieu et place de l’image paternelle, adversaire redouté des pulsions sexuelles de l’enfant. La castration et son expression symbolique de l’arrachement des yeux prennent ici tous leurs sens comme le châtiment dont il est menacé. De même, la crainte de cette castration est ici déplacée vers un animal, même si cette crainte ne fera pas l’objet d’une phobie. Nous pourrions nous interroger sur l’analogie des phénomènes d’attraction-répulsion dans le cas d’Arpad en comparaison avec la phobie du petit Hans.
Dans la perspective totémique évoquée par Freud, nous pouvons imaginer que la « totémisation » du coq représente une symbolisation de l’interdit paternel et donc un barrage à l’accès du sexuel. Le coq est donc le totem singularisant le père pour Arpad, qui viendra exercer sur ce dernier les interdits primordiaux en même temps qu’une agressivité archaïque qui illustrent bien les propos de Freud dans son concept du tabou.
Pour terminer l’analyse de ce cas dans la perspective de Freud, nous pourrons nous interroger sur l’importance du phénomène de traumatisme imaginaire.
Ici le traumatisme primaire n’est pas objectivable par l’enfant qui ne peut l’intégrer et construit un scénario imaginaire dont le complexe de castration semble le noyau, la loi. Cette idée nous amène à réfléchir sur l’émergence du langage dans la constitution d’un après-coup qui pourrait amener les symptômes à s’exprimer sur le théâtre d’un impossible à dire. Ici la rencontre du sexuel et l’émergence du langage.
Cette transition évoquant le « troumatisme[4] » de Lacan nous amène à observer ce cas dans la perspective de la théorie Lacanienne.
C’est justement par cet impossible de l’usage symbolique de la parole que nous aborderons la lecture « Lacanienne » de ce cas. C’est une donnée importante qui nous est révélée par Ferenczi dès le début de la description du cas, le petit Arpad a perdu la parole.
Selon la théorie de Lacan ce « troumatisme » fait trou justement dans le tissus symbolique, ce trou c’est la rencontre du sexuel que l’enfant ne peut symboliser. Pour Arpad ce trou impossible à dire est le lieu d’une jouissance que le symbolique ne peut attraper. Dès lors, l’enfant se trouve pris dans une fantasmatique déployée sous l’angle de ces figures animales que sont les volailles, en lieu et place de l’insaisissable.
Pour poursuivre dans cette perspective le symptôme que l’on voit se construire ici raconte la façon avec laquelle Arpad fait avec ce réel. En proie à l’angoisse du sexuel, Arpad tente une représentation de la chose qu’il ne peut nommer, si ce n’est que dans un registre qui se limite à la description des volatiles. Ce signifiant est une manière de dire qu’il ne sait pas à quoi il a à faire et rend compte de l’incompréhension face à la jouissance inconnue. Cette jouissance est, nous semble-t-il, en lien avec les premiers émois sexuels ressentis comme extérieurs dont le pénis en érection en est le « totem ». Cette rencontre avec le réel sexuel est vécue avec une forte sensation d’angoisse qu’aucun contenant symbolique ne vient enrayer.
Nous nous interrogeons sur la place de la suppléance paternelle qui ici ne présente pas d’éléments descriptifs dans la problématique Œdipienne. Dans le cas du petit Hans par exemple, cas très analogue à celui d’Arpad, la présence de la phobie tient lieux et place de suppléance paternelle.
L’objet phobique prend sa place de Nom-du-Père, peut-être d’une certaine manière faisant foi de « Totem » comme le signale Freud. Hans déplace la carence de la suppléance paternelle sur le cheval arrimant son angoisse à un objet extérieur trouvé dans le registre imaginaire. Le danger est extériorisé par toutes les représentations que l’animal exprime à la place du père. Cette image qui fait peur tient lieu de signifiant qui vient faire barrage à une jouissance incontrôlable.
De ce fait, Hans traite de manière métaphorique l’angoisse qui permet de mettre en jeu des ressorts symboliques pour empêcher son envahissement.
Il nous semble que dans le cas d’Arpad, c’est ce qui rate, c’est-à-dire le traitement symbolique du réel de la castration qui ne prend pas corps dans la parole ni dans la transposition phobique venant apporter une suppléance du père symbolique.
Dès lors, Arpad doit trouver une autre voie, il nous semble qu’il tente de nouer un savoir sur le sexuel qui pourrait constituer une tentative de solution. Ainsi, dit-il : « maintenant je suis un poussin. Quand je serai encore plus grand je deviendrai un coq ». De cette façon, il peut mettre en parole un essai de métaphorisation s’interposant entre le désir et la mortification liée à l’épreuve de la castration.
Les notes de lecture de ce cas[5], rappelée ici par Nathalie Zadje, nous indiquent que le jeune Arpad se pose des questions métaphysiques sur la mort, l’existence de Dieu. Il y a dans ce questionnement un élément pacificateur qui tient lieu de père castrateur « bienveillant », qui inspire à l’enfant un grand respect mêlé de crainte. Ainsi il peut entrer dans la dynamique de l’Œdipe qu’il symbolise par le désir d’épouser sa maman, tel qu’Arpad le dit.
Ainsi le petit Arpad, en métaphorisant cette angoisse, nous semble capable d’entrer dans la construction d’une structure subjective qui organise son rapport à l’Autre. C’est tout du moins l’hypothèse que nous en faisons, n’ayant pas d’élément sur la suite de l’histoire d’Arpad.
Nous signalerons également l’interprétation très intéressante d’un point de vue ethnopsychanalytique de ce cas par Nathalie Zadje dont nous avons déjà signalé la référence.
Le statut de l’angoisse dans la clinique non psychanalytique.
Nous avons vu lors de l’analyse des théorisations Freudiennes et Lacaniennes que l’angoisse est un affect qui a une valeur dans le travail subjectif et structural du sujet. Nous avons également mis en lumière l’angoisse de castration et son rôle structurel dans le cas du petit homme coq. La psychanalyse dans son application à donner un sens au symptôme, cherche à trouver une voie vers le désir mais aussi vers la position du sujet dans son rapport à l’Autre. Le symptôme est dans cette perspective traité de manière positive et prend dans l’élaboration analytique une valeur dans l’histoire du sujet et de la pathologie.
C’est, il nous semble, une dynamique de soin, dans la mesure où le traitement consiste en la considération des causes du symptôme dans la vie du sujet. De cette causalité et de sa compréhension dépendent la façon dont le sujet remettra à l’ordre du jour son désir, de quelle façon, comme le dit Lacan, à la suite de Freud, « là où c’était, le sujet doit advenir[6] ».
Qu’en est-il dans les autres disciplines cliniques ?
Notre ambition n’est pas de faire l’état de toutes les disciplines qui « traitent » le symptôme psychique, nous nous attacherons à décrire en quelques lignes les approches des disciplines les plus influentes à notre époque.
Le DSM et les troubles anxieux.
Le DSM (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) ou dans sa version française, manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, est une classification internationale, descriptive et multiaxiale des troubles mentaux. Cette classification aujourd’hui éditée à sa version V se veut athéorique et a pour ambition de représenter pour tous les spécialistes de la prise en charge des troubles psychiques, une vision « normalisée » sans subjectivité. Le DSM est devenu en quelques années une référence de la classification des troubles avec une visée diagnostique notamment dans une approche psychiatrique et « scientifique » du trouble mental.
Ainsi dans le DSM V, version approuvée et actuellement reconnue, l’angoisse en tant qu’affect n’est pas mentionnée. Au titre des troubles « apparentés » à l’angoisse se trouve en lieu et place un trouble d’anxiété généralisé annexé à une nosographie générale où se mêlent des troubles hétéroclites, tels que l’attaque de panique, l’agoraphobie, les phobies spécifiques, états de stress…
On voit ici que l’analyse étiologique cède à la description d’une symptomatologie descriptive qui aurait pour but de rendre compte des troubles sans pour autant parler du sujet.
C’est ainsi que le TAG (trouble d’anxiété généralisée) trouve une objectivation extrême qui engage avant tout les phénomènes du corps, et où la souffrance est médiatisée par un discours médical.
L’anxiété cognitive et les thérapies comportementales et cognitives.
Burrows et Davies[7]définissent en 1980 l’anxiété comme « une émotion déplaisante induite par l’anticipation d’un danger ou d’une frustration qui menace la sécurité ou l’homéostasie d’un individu ou d’un groupe auquel il appartient ». Partant de ce corolaire, ils annexent à cette définition trois composantes de l’anxiété, cognitive, physiologique et comportementale. Ces composantes sont définies en creux, par une altération, un déficit cognitif associé à un désordre physiologique, et altérant le comportement social.
Ainsi, se distingue l’anxiété comme étant un « trait » ou un « état » plus ou moins stable pour un individu face à un danger objectif. L’anxiété trait étant la réponse d’un apprentissage inapproprié à un stimulus pour une personne dont la prédisposition ontologique à l’anxiété est plus marquée qu’une autre.
Pour les tenants des sciences cognitives et comportementales, l’anxiété qui se présente avec les mêmes caractéristiques physiologiques que l’angoisse, est une disposition dépendante de l’environnement direct de l’individu et de ses capacités d’autocontrôle face aux stimuli extérieurs. Cette capacité est dépendante de l’appareillage cérébral de l’individu et de ses apprentissages dans un environnement donné.
On est bien loin des descriptions psychanalytiques qui fondent l’angoisse au centre de l’état d’être au monde et de la relation du sujet à l’Autre. Il nous semble, au contraire qu’ici le sujet est évincé de l’équation au profit d’un individu objectivé par l’expérimentation dont la finalité consiste en une mesure d’un état à un moment donné.
La littérature scientifique inspirée par les évolutions successives du DSM identifie une constellation de nouveaux symptômes dont la caractéristique est d’être « en dehors » de la norme sociale.
Traitement de l’anxiété, un remaniement du comportement.
Le destin du symptôme est d’être supprimé, tant il est une expression d’une « anormalité » comportementale. La « rééducation » cognitive qui consiste en la gestion de l’anxiété, indique ici que l’anxiété est une affaire qu’il faut contrôler techniquement. La perfusion d’une chimie à base de benzodiazépines vise quant à elle à supprimer l’angoisse, l’anxiété par la mise en œuvre d’une camisole du symptôme qui obère en même temps la capacité à la symbolisation.
Pour faire une transition vers la conclusion de ce travail, nous posons la question de ces nouveaux symptômes, dont l’objectif au-delà de tout travail de symbolisation est qu’ils soient curables, réduits au rang de maladie organique.
Conclusion et question.
Nous avons vu tout au long de ce travail fondé sur l’angoisse, que le symptôme est dans la vie du sujet une relation à la jouissance mais aussi un « langage » qui dans certaines conditions structurales peut être l’objet d’une interprétation.
Le symptôme est une voie vers l’inconscient structuré comme un langage et qui marque le sujet d’une énonciation qui a trouvé son expression dans la « maladie ».
Pour Lacan, le symptôme est un message énigmatique adressé à l’autre. Le semblable à qui est adressé ce message n’en saisit pas la signification et en est réduit à une interprétation.
Dans l’analyse, le sujet invoque un symptôme dont il veut se débarrasser. Le sujet faisant la démarche auprès de l’analyste en exprimant une demande, croit en son symptôme. Il croit que celui-ci dit quelque chose du sujet qu’il est, et qu’une interprétation est possible. A défaut ce symptôme n’aurait aucun sens, il n’y aurait rien à en dire.
Lorsque le sujet adresse son symptôme à l’analyste, c’est une demande qui se déploie ici, une question. Cette question, le sujet suppose que l’analyste sera capable de l’entendre au-delà du simple énoncé d’une plainte. Enfin au terme de la cure le sujet pourra abandonner ou au moins réduire cette contrainte de jouissance qu’est le symptôme. Réduire car il convient d’abandonner l’idée que le symptôme est guérissable dans sa totalité, tant il vient recouvrir le traumatisme qui pose la marque du signifiant sur le sujet.
C’est à ce titre que nous pensons que les thérapies comportementales et cognitives ne peuvent qu’échouer face à la division du sujet. Enfin, la destruction du symptôme, impossible par essence, est pour le moins une mise à distance du sujet et du savoir qui le constitue.
Face à la tentation toujours croissante d’objectiver le symptôme et par-delà le sujet, nous voudrions terminer ce travail par une question qui résonne comme un appel à comprendre :
Qu’est-ce que cela indique du nouveau statut du symptôme mais surtout de la place du sujet et de son énonciation ?
Renaud Lebarbier.
Psychologue, psychanalyste, clinicien du travail.
Vernon Saint-Marcel (27200)
[1]Ferenczi S. "Un petit-homme coq". œuves complètes, T. 2, Paris Payot, 1990
[2]Ibid. P 74. (Résumé du cas pris sur le site : http://www.ethnopsychiatrie.net/actu/arpad.htm#fn1
La névrose ou la poule ? Par Nathalie Zadje.
[3]Sigmund Freud, Totem et tabou, Paris, Payot, coll. « Petite Bibliothèque Payot », 2001
[4]Lacan J., Le Séminaire, Livre XVI, D’un Autre à l’autre, Paris, Seuil, 2006, p. 274
[5]Résumé du cas pris sur le site : http://www.ethnopsychiatrie.net/actu/arpad.htm#fn1
La névrose ou la poule ? Par Nathalie Zadje.
[6]J. Lacan, « Le séminaire livre XI, Les quatre concepts fondamentaux de la psychanalyse », Paris, Seuil, 1973, p.45
[7]Graham D. Burrows, Brian Davies, “Handbook of studies on anxiety”, Elsevier/North-Holland Biomedical Press, 1980, Université de Californie.
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